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Parce que je ne sais pas
Calmer la tempête
Ni à fortiori
La confiner
En mon îlot
J’écris
J’écris
Ces phrases imbéciles
Ces giclées de mots automatiques
Sans queue ni tête
Tachant par là de me sauver
Échapper à l’angoisse de vivre
De participer de fait
À ce monde abject
Que nous avons laissé faire
Se construire, se manigancer
Malgré le coeur clair
Et l’âme lente
Qui sont pour toujours
Notre coeur
Notre âme.
Quand je te reverrai
Tes belles mains
Noueuses
Je les baiserai
De toute mon âme
À me Minnanna.
Copyright texte & photo Dominique Ottavi.
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