le temps qu'il faut, le temps qu'il fait
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Châle grège
effiloché
abandonné dans le vent
sur la rambarde
aux cascades menteuses,
prêt-à-porter
trop lourd
pour des épaules trop frêles
et les petits cailloux blancs
privés du seul chemin possible,
de leur seul fait
Chagrin ?
A la niche !
Espoir ?
Tel la libellule joyeuse
légère
frêle
transparente
mais si sûre d'elle,
malgré les apparences
et qui ne doute plus de rien...
bonjour, bonjour le temps !
Enfin venu...
© dominique ottavi. Tous droits réservés
Chanson écrite, pour tous les enfants du monde, dans la maison aux fées, au pays de Valois...
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